Il répugne à en parler, mais…
Eh, l’affaire est simple, j’écris. Quelle audace, quelle idée saugrenue ! Puis je bois mon café, trop fort. Oui. J’écris. Si le vent a bien tourné, je respire l’odeur des mots, en moi, autour de moi, je marque l’espace, style gaucho-romantique.
J’écris, je ne fabule pas. Tu me complimentes sur la bonne tournure des mots, tu me congratules sur la manière d’accrocher un rythme, tu sais qu’il est très dangereux de me contredire.
J’écris, pour me trouver, même dans mes futilités.
(remeny – 26 juin 2014)