Rien de grand, d'extraordinaire...
Autrefois J’avais des poèmes plein mon sac Maintenant De l’alcool plein ma gourde (remeny - 28 février 2006)
Poésie, échanges poétiques, musique, critique musicale, blog à deux voix et 4 mains
Autrefois J’avais des poèmes plein mon sac Maintenant De l’alcool plein ma gourde (remeny - 28 février 2006)
Les parois de ma vie sont lisses Je m'y accroche mais je glisse Lentement vers ma destinée Mourir d'aimer Tandis que le monde me juge Je ne vois pour moi qu'un refuge Toute issue m'étant condamnée Mourir d'aimer Mourir d'aimer De plein gré s'enfoncer...
Ave, Maria. Au commencement ce n'était qu'un souffle A peine posé sur les notes égrenées du piano Vinrent ruisseler ensuite de petites gouttelettes, transparentes, luminescentes. Un arc-en-ciel pour élever l'ensemble et le miracle s'accomplit Sur un faisceau...
Invente-moi d'autres évasions... Lorsque sonne l'heure de la mélancolie... (remeny - 19 septembre 2007)
Elle - Tu es bien silencieux Lui - Je réfléchis Elle - À la bonne heure, je vois tes yeux s’allumer Lui - Va au diable Elle - M’y forceras-tu une nuit pareille ? Lui - Oui, je vois ton gentil visage intéressé. Elle - Tu sembles le dire avec fierté, tu...
J'étais assise aux côté d'un jeune asiatique d'une vingtaine d'années il souriait béatement au spectacle, il battait des mains comme un enfant et roulait des teux émerveillés en hochant de la tête Je lui demandais: "D'où venait vous?" Il me répondit avec...
Gianna Nannini est née le 14 juin 1956 à Sienne . Pour l’anecdote elle est la sœur du pilote de Formule 1 Alessandro Nannini . Certains le présentent comme la Bonnie Tyler italienne, terme que je trouve fort réducteur. Elle sort son premier album « Gianna...
quand tu auras fini de me mourir n'oublie pas de me vivre!
juste un petit mot farfelu marmot rien qu'un émoi un je ne sais quoi une peccadille une ascétique cédille la becquetance de l'affamé l'ambroisie de l'assoiffé l'inévitable poème le cent et unième consumé comme braise une ardente cimaise juste un petit...
"L’unique patrie, étranger, c’est le monde que nous habitons ; un seul chaos a produit tous les mortels." (Méléagre, Anthologie Grecque) On dévalait cette rue dont j'ai perdu le nom, on courait comme des fous dans les escaliers, ou bien on se laissait...