AMICO FRAGILE : Regards sur l'oeuvre de Paolo Zagaglia - 8 et fin (provisoire...)
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Voilà un bref résumé de toute une vie. Et une vie pleine de rencontres, de femmes qui se confient, d’hommes qui se confessent… un jour, on rassemble les bribes entendues durant des dizaines d’années et on écrit un texte, ou on tourne quelques images pour faire partager tout cela.
Tant pis pour ceux qui ne jurent que sur (se cachent derrière) l’aridité d’un texte : c’est qu’ils n’ont pas encore compris qu’un scénario n’est pas uniquement un acte technique décharné et dénué de charme mais qu’il s’écrit aussi avec des sentiments et dans un certain état de grâce
J’ai au moins acquis une certitude :
les rêves fous restent toujours fous dans notre tête.
Et toujours inassouvis.
À part ça, je suis licencié en philologie romane mais il m’a suffit de donner cours pendant un seul mois pour comprendre que l’enseignement n’était pas ma tasse de thé (d’ailleurs, je ne bois, rigoureusement et avec dévotion, que le vrai espresso italien…).
En guise de conclusion :
Voilà, moi j’adore ce qu’il écrit et même s’il n’est pas très connu, il laissera des traces : dans quelques générations, il y aura toujours quelqu’un qui découvrira l’un de ses livres, les lira et l’aimera. (Femme seule, chez elle, instable au bord de l’abîme)
Tu as raison, il y a des jours différents des autres. Et ces jours-là tout est possible...